Pour ceux qui souhaitent louer un logement, quelques aides sont octroyées pour alléger les charges notamment le montant des loyers. Ce sont des aides d’ordre financier en forme de subvention mensuelle pour réduire le loyer. Cependant, quelques conditions sont nécessaires pour en bénéficier et les résidences principales sont soumises à quelques règles particulières. Qui peut bénéficier de l’APL ? Premièrement, l’APL ou Aide personnalisée au logement concerne certaines personnes, notamment les locataires ou colocataires afin de réduire le montant du loyer qu’ils paient tous les mois. Cette aide peut également les soutenir lors d’un emprunt immobilier, mais sous quelques conditions. Le logement concerné doit être la résidence principale de celui qui demande et dont le logement a fait l’objet d’une convention avec l’État. L’APL ne prend pas en compte la situation du demandeur, qu’il soit seul ou avec des charges, étranger ou non et quel que soit son âge sauf pour un enfant mineur émancipé dont le nom est écrit dans le bail. Tout ce que l’APL s’intéresse, c’est le demandeur lui-même, son conjoint, son concubin, son partenaire pacsé et tout ce qui habite ou passe dans le logement depuis plus de 6 mois après à demande. Pour calculer l’APL, il faut prendre en compte les personnes composant le foyer, les ressources de ces dernières, ainsi que leur situation professionnelle. Sans oublier l’emplacement du logement et la date quand le prêt a été signé. Il se peut que des imprévus aient dû changer la situation professionnelle du demandeur. Seuls ces genres cas peuvent contraindre le calcul de l’APL qui doit se faire le 1er janvier de chaque année. Pour la question de démarches, le bénéficiaire doit livrer à la caisse d’allocations familiales ou à la mutualité sociale agricole la demande qui est soutirée à partir du formulaire cerfa n°10840*05. Ceci doit être effectué le plus vite possible après occupation des lieux.