En temps normal, le contrat de crédit auto ne prend fin que lorsque la totalité de la somme empruntée est remboursée. Pour ceux qui optent pour les taux fixes, la fin du contrat aura lieu lors du dernier acquittement. En revanche, pour les emprunteurs qui ont choisi le taux variable, la collaboration prendra fin le jour où il s’acquittera de toutes ses dettes. Bref, du moment que les mensualités sont réglées, il n’y aura pas de problème et le contrat prendra fin comme prévu. En cas d’impayé, la durée de la collaboration devra être prolongée.
Qu’est-ce qu’on entend par fin anticipée ?
La « fin anticipée » peut provenir d’un ou des deux signataires. Un litige aura lieu entre les deux parties, dans le cas où c’est le prêteur qui fait la résiliation. Il faut savoir que l’actionneur n’a pas le droit de prendre de telle décision, sauf dans les situations extrêmes. Quoi qu’il en soit, ses situations sont déjà mentionnées dans le contrat de crédit auto. Les mauvaises surprises ne risquent donc pas de surgir. Selon la loi, un contrat de crédit ne peut être interrompu pour des raisons personnelles. L’interruption de la collaboration ne se base que sur le contrat du crédit proprement dit. En cas de retard de paiement, soit 2 mois d’impayés, la résiliation peut se faire. Dans de telles situations, seule la mention définira les mesures à prendre.
Un prêteur a tout à fait le droit de dénoncer le contrat si jamais le bien acheté ne se trouve pas dans la clause. D’où l’existence des procédures pour le contrôle des biens acquis. Par défaut, l’emprunteur se doit de débourser l’intégralité de la somme due. En cas de refus, un procès auprès d’un tribunal compétent aura lieu. La valeur du credit auto doit être honorée comme convenu. Le dépassement peut faire l’objet d’une résiliation du contrat et peut entraîner des pénalités ou des indemnités qui sont bien entendu régies par la loi.