Si l’on se réfère à la situation actuelle, on peut constater le paradoxe qui met en exergue le mauvais équilibre entre la croissance économique et le taux de chômage.
On vient alors à se demander, pourquoi la croissance ne suffit pas à créer de l’emploi ?
La réponse est complexe, car le sujet fait intervenir un très grand nombre de paramètres qu’il faut prendre en compte pour évaluer sereinement la situation.
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Productivité est synonyme de croissance
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Cheville ouvrière de l’économie, la production de biens et de services déterminent le chaud et le froid sur un plan global. Si on veut qu’une économie soit compétitive et de ce fait, en route vers la croissance, il faut trouver le bon équilibre entre la production et la consommation.
D’où les différentes initiatives visant à améliorer les performances des unités de production dans un pays donné.
Prenons l’exemple de la Belgique, la région Bruxelles-capitale a pris des mesures amélioratives et correctives à imposer aux entreprises, dans le but d’améliorer les conditions de travail de leurs employés. Conscient par l’enjeu que représente un environnement de travail sain, le service public bruxellois adopte des mesures destinées à rendre la vie des prolétaires plus facile, et ainsi, leur productivité augmentera systématiquement.
Ainsi donc, la balance économique de Bruxelles devrait s’équilibrer, voire pencher vers le positif.
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La réalité est toute autre
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Pourtant, cette croissance, aussi palpable par le coût de la vie ou manifeste dans les statistiques, n’est que relativement positive pour le taux de chômage qui ne baisse pas de façon aussi incroyable. Malgré un taux de croissance économique élevé, un pays ne peut toujours pas garantir la réduction ou la suppression du chômage.
La faute, à une démographie non contrôlée et des retombées économiques mal réparties.
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Quelles solutions pour y remédier ?
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Si on veut créer un emploi, il faut qu’il y ait une demande de consommation et la rotation devrait s’effectuer systématiquement. Cependant, ce n’est pas le cas, car le volume de solutions proposé par la croissance ne suffit pas à contrer le poids du chômage qui s’accroît, tant en termes de chiffres qu’en qualité.
Toujours dans le cas de Bruxelles, l’État central a prévu par exemple d’octroyer une aide sous forme de primes et subsides aux entreprises qui développent des activités génératrices d’emploi.
Ces aides sont destinées à encourager les acteurs de l’industrie et des TPME à diversifier et à développer leurs activités pour créer des emplois.
En contrepartie, elles bénéficient d’une aide financière pour le fait de créer des emplois, contribuant à la valorisation de l’économie nationale.
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